Degré K vous informe depuis 2010. Les scientifiques vous le confirment.
Forte de son expertise reconnue sur les technologies LED, Degré K dont le fondateur est aujourd’hui Expert international AFNOR/ISO pour l’éclairage dentaire, prend soin de ne proposer que des produits LED sécurisés, sans pointe de bleu toxique.
Un nouvel article de l’article de l’INSERM relatif à la toxicité de la pointe de bleu des LED vient d’être publié.
Il a été largement relayé dans la presse grand public. Les Echos reprennent notamment les risques et solutions existants : gestion de la luminance & notion de LED complexes. > Lire
Les conditions expérimentales de l’étude INSERM sont très proches de celles de l’exercice dentaire :
- Éclairement supérieur à 6000 Lux : des valeurs voisines voire nettement supérieures sont courantes en dentisterie !
- Pupille dilatée : le dentiste a la sienne également trompée par l’excès des rayons bleus de la LED qui biaise le réflexe pupillaire : sa rétine est sur-éclairée par les bleus
- LED froides classiques utilisées : comme sur la majorité des appareils en dentisterie (scialytiques, plafonniers, lampes frontales pour loupe, LED pour instruments dynamiques, lampes à polymériser…)
Les conclusions de l’étude s’appliquent donc plus que probablement aux praticiens, aux assistantes au fauteuil, voire aux prothésistes dentaires :
« La potentielle toxicité de chacune (des sources de lumière) sur la rétine dépend à la fois de l’intensité de la lumière et des longueurs d’onde qui la compose ».
Cela signifie que les dentistes, dont les yeux sont exposés :
- toute la journée
- à de forts éclairements de LED froides à forte pointe de bleu
- émanant de plusieurs appareils,
sont réellement exposés à un risque visuel.
L’ANSES va mettre à jour courant 2017 son rapport de 2010 sur la lumière bleue. Les normes vont être revues.
Pour en savoir plus sur le sujet, consultez les articles et posts diffusés régulièrement sur notre site internet :