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Comprendre l’importance de la lumière pour une vision parfaite sans fatigue et un bien-être quotidien au fauteuil.

Vous avez tous entendu parler de luminothérapie. Son principe : soigner la dépression hivernale par exposition à la lumière du jour. Son fondement : la lumière naturelle du jour a des vertus thérapeutiques régulatrices de nos rythmes chronobiologiques.
Quand on y pense c’est évident : nous sommes bien plus contents quand il fait beau que quand il fait gris.

Il aura fallu attendre 2002 pour que des chercheurs mettent en évidence qu’il existait sur la rétine d’autres cellules actives que les cônes et les batônnets : les cellules ganglionnaires à mélanopsine. Cette avancée scientifique a permis de prouver que la lumière induisait certes des effets visuels, mais également des effets non-visuels très importants, à savoir la régulation de l’horloge chronobiologique et l’ouverture pupillaire.

Ces découvertes ont ouvert le champ il y a une dizaine d’années à une nouvelle conception d’éclairagisme : le HCL (Human Centric Lighting, ou Éclairage anthropocentré en Français).
Le HCL, c’est la prise en compte dans la conception de l’éclairage de tous les effets de la lumière chez l’Humain, tant visuels que biologiques et comportementaux. Plus prosaïquement, éclairer HCL c’est assurer une vie agréable et un travail aisé.

En dentisterie, le résultat recherché de l’éclairage HCL est de permettre d’atteindre facilement l’acuité visuelle maximale et la parfaite vision des formes et des couleurs, en tout confort.
C’est à dire : bien voir évidemment, mais surtout « sans fatigue au quotidien » et « sans vieillissement accéléré des organes de la vue ».

Les spécialistes des phénomènes de la vision ont ainsi mis en évidence que le spectre de la lumière naturelle du jour a davantage d’importance que l’intensité lumineuse, non seulement pour bien voir mais surtout pour bien vivre. Ils ont mis en évidence que l’exposition à une lumière artificielle intense différente de la lumière naturelle du jour peut avoir des résultats physiologiques délétères.

Pour schématiser, la lumière naturelle « blanche » de la journée est composée de toutes les couleurs du visible, chacune à un degré d’intensité voisine. C’est la notion de spectre, qui se dévoile dans l’arc en ciel et dont la normalisation porte le nom de D65.

Chaque couleur du spectre de la lumière naturelle stimule différemment les cellules de la rétine :

  • Les cyan (les bleus-ciel et turquoise) « pilotent » les cellules à mélanopsine, et donc toutes les fonctions de nos rythmes circadiens : sommeil, humeur, digestion, concentration… ainsi que, et c’est très important, l’ouverture pupillaire.
  • Les vert/jaune influent majoritairement sur la sensibilité visuelle des cônes et des bâtonnets, donc sur la vision.
  • Les bleus-foncé/violet, très puissants énergétiquement, sont très largement responsables du vieillissement de l’œil et de l’éblouissement.

Pour faire court, la lumière naturelle nous apporte du cyan en quantité, ce qui nous assure bien-être et santé, une même quantité de verts/jaunes ce qui optimise notre vision, mais pas trop de bleu foncé pour ne pas nous abimer.

L’appareil visuel humain est programmé pour cette lumière naturelle équilibrée et sait la gérer. Faites le test à l’extérieur : pas besoin de beaucoup de lumière pour atteindre aisément l’acuité visuelle maximum (voir de tous petits détails).

Mais quand il y a trop de lumière par beau temps ou en mer, il faut nous protéger les yeux avec des lunettes de soleil pour filtrer les bleus violets en excès que notre pupille ne sait plus gérer. De la même façon, les jours de brouillard sur la neige, il nous faut des lunettes jaune/orange malgré la faible intensité lumineuse, car la brume absorbe les Cyan et Verts/jaunes mais laisse passer les bleus violets. Or ces derniers saturent la rétine à cause d’une pupille trop ouverte en raison… du manque de cyan.

La lumière qu’il nous faut est donc une lumière naturelle au spectre régulier, pas trop puissante, et harmonieusement diffusée et répartie. A défaut, éblouissements, contrastes, toxicité, fatigue seront au rendez-vous.

Degré K s’est toujours positionnée à la pointe de la conception de luminaires pour la médecine buccodentaire afin d’optimiser bien-être, santé et qualité de la vision.  Elle propose des produits qui reproduisent très exactement le spectre de la lumière naturelle du jour (spectre D65 certifié), diffusent harmonieusement la lumière pour un environnement non éblouissant et peu contrasté dans tout le champ visible (la pièce), et dont l’intensité lumineuse est calibrée pour l’acuité maximum (3000 lux max sur les dents et 15000 lux max sur les muqueuses).

 

* Attention : une caractéristique  « 6500 K » ou « chromaticité D65 » indique uniquement la couleur de la lumière. Mais la juste répartition spectrale de la lumière naturelle du jour n’est acquise qu’avec le spectre D65.

Découvrez les clés pour choisir un éclairage sain, adapté à vos besoins spécifiques.

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